Harcèlement sexuel et agissements sexiste au travail : des formations pour le référent
Depuis le 1er janvier 2019, chaque CSE a l’obligation de nommer un référent « harcèlement sexuel et agissements sexistes au travail ».
En parallèle, les entreprises de plus de 250 salariés doivent également nommer un référent par le biais du Service Ressources Humaines.
Instaurée par la loi Avenir professionnel du 5 Septembre 2018, cette mesure a pour but d’« Orienter, informer et accompagner les salariés en matière de lutte contre le harcèlement sexuel et les agissements sexistes au travail ».
Pour réussir dans ce nouveau rôle de référent, l’élu CSE doit inspirer confiance aux victimes et aux témoins.
Il doit également être capable d’identifier les situations qui amènent à du harcèlement au travail.
Avant tout, la formation est la clé pour réussir ce rôle de référent harcèlement sexuel et agissements sexistes au travail.
D’une part, la formation « Prévenir et traiter le harcèlement » proposée par l’IEDRS permet aux stagiaires d’être en possession d’outils efficaces et éprouvés pour :
- Décrypter les profils et les techniques d’un harceleur
- Anticiper les profils des victimes
- Repérer les agissements susceptibles d’amener à une situation de harcèlement
D’autre part, la formation à la médiation permet de restaurer le dialogue et d’entamer une démarche curative ou préventive au harcèlement. De plus, l’avantage de se former à la médiation, est de régler les différends assez rapidement et de les prévenir en permettant aux parties de s’exprimer librement et d’instaurer une communication basée sur l’empathie et l’écoute.
Informations et inscriptions à la formation « Prévenir et traiter le harcèlement, contactez-nous au 03 87 50 81 58 ou > cliquez-ici
Informations et inscriptions à la formation « Consultant médiateur », contactez-nous au 03 87 50 81 58 ou > cliquez-ici
Retrouvez également notre publication dans l’édition de Septembre 2019 du Guide des CSE, Sélection SCE.
(crédit photo : pixabay.com)
